Quand faut-il vendre une action ?

Publié le : 02 avril 202110 mins de lecture

Choisir le meilleur moment pour vendre une action est une décision cruciale pour ceux qui veulent faire de bons bénéfices. Mais c’est une décision qui nécessite beaucoup d’évaluation. Après tout, un faux pas peut mettre en danger les investissements d’une vie entière. Et ils peuvent aussi être le salut pour ceux qui vivent ou ont vécu des situations plus compliquées et qui ont seulement l’intention de rentabiliser un peu plus le patrimoine. Ensuite, on vous donnera des conseils simples sur le moment où vous devez vendre une action, avec tous les arguments à votre disposition pour prendre la bonne décision et obtenir les rendements que vous attendez. Après tout, lorsque vous investissez dans une action, vous vous attendez à réaliser de bons gains financiers. N’est-ce pas ?

Définissez le profit que vous voulez faire

Tout d’abord, vous devez savoir quelle marge de profit vous voulez réaliser afin de pouvoir ensuite élaborer une stratégie. Lorsque vous avez une marge de profit imaginaire, vous savez exactement où vous voulez en venir, et vous pouvez donc juger du meilleur moment pour le faire. N’oubliez pas de garder cet objectif pendant un certain temps, car il est le plus approprié. Certaines personnes, toujours, lorsqu’elles arrivent au bénéfice qu’elles souhaitent, stipulent une autre marge de profit qui est presque impossible à atteindre. Et cela fait perdre à la personne beaucoup de temps et aussi beaucoup d’argent. En gardant à l’esprit la marge de profit que vous souhaitez, recherchez des informations qui vous satisfassent. Ensuite, si cela vous intéresse, attendez un peu et réévaluez un nouvel investissement avec de nouvelles marges bénéficiaires. C’est le moyen le plus sûr, surtout si l’on considère que des oscillations peuvent se produire.

Evaluer le bénéfice momentané

Comme dans le cas précédent, il arrive que vous n’obteniez pas les revenus escomptés. C’est pourquoi soit vous retournez l’attente, soit vous retirez l’investissement à temps. Toutefois, dans de tels cas, la situation doit être examinée avec soin et avec beaucoup d’attention. Il peut arriver que le bénéfice ne soit pas celui escompté, mais qu’il soit très proche. S’il y a un grand mouvement et que vous ne pouvez pas juger si c’est la meilleure option, réfléchissez et envisagez de vous retirer d’abord. Même si ce n’est pas le profit que vous avez conçu, il peut être la solution du moment à la situation donnée. C’est une décision difficile, et il faut beaucoup de courage. Mais surtout, elle exige une grande connaissance du marché et aussi des opérations. Vendre une action juste avant le bénéfice escompté n’est pas le meilleur des événements, mais c’est peut-être aussi ce qui vous donne le plus de sécurité.

Vous pouvez attendre.

Parfois, lorsque les actions sont à la baisse, la réaction naturelle est que tout le monde sort et vend toutes les actions pour ne pas perdre. Toutefois, il existe également un risque de ne pas atteindre votre objectif d’investissement. Ce n’est pas parce que les actions sont en baisse que c’est le meilleur moment pour les vendre. L’idéal est de toujours attendre un peu et de voir comment les choses se passent. Il peut arriver que ce soit un phénomène du marché qui conduise à ce type d’événements et qui, peu après, normalise tout, en reprenant la croissance. Les fluctuations se produisent toujours, et la façon dont vous réagissez à ces fluctuations est que vous définissez votre profit ou votre perte. Si vous êtes curieux, cherchez plus d’informations et vérifiez également si ce genre d’oscillation s’est déjà produit, en voyant comment l’entreprise s’est débarrassée de ce fantôme.

Les moments les plus stables

Si vous avez atteint la marge bénéficiaire que vous avez imaginée et déterminée, envisagez de vendre les actions aux périodes les plus stables. En laissant plus de temps, vous risquez de perdre une bonne partie de ce que vous avez déjà accumulé, et vous devrez alors attendre encore plus longtemps que les valeurs soient restaurées. Le moment le plus stable est le meilleur moment, car il peut donner une plus grande sécurité dans la vente. Ainsi, vous ne perdez pas beaucoup de ce que vous avez déjà investi, et vous pouvez également garantir un profit plus élevé que celui que vous avez déjà eu. C’est certainement le meilleur moment pour vendre une action. Si vous pensez à d’autres possibilités, vous pouvez également analyser l’histoire. C’est quelque chose qui aide beaucoup et qui peut être la solution dans ces cas précis. Grâce à l’historique, vous pouvez évaluer si vous avez encore une chance d’augmenter la marge bénéficiaire. Et donc savoir si c’est effectivement le meilleur moment.

Faire des projections

Avec les projections, c’est plus simple. Vous pouvez faire une sorte de simulation pour vérifier s’il est rentable de réaliser la vente ou d’attendre plus longtemps. Grâce à la projection, vous avez une vue d’ensemble des rendements que vous pouvez obtenir, en ayant en chiffres toutes les possibilités. C’est la seule façon d’être sûr d’être exprimé en chiffres. L’idée est d’obtenir un revenu total qui a été réalisé, les bénéfices de la transaction et aussi de savoir si, en fait, c’est le meilleur moment pour réaliser la vente. Si vous êtes sûr, vous pouvez choisir de faire toute la transaction en une fois ou non. Toutefois, ce n’est qu’avec cette prévision qu’il est possible d’avoir une certitude plus solide que celle qui est en fait plus recommandée à l’heure actuelle. Que ce soit le meilleur moment ou qu’il soit préférable d’attendre un peu plus longtemps. Chaque mesure doit être prise avec la plus grande certitude possible, car s’il y a le moindre doute, elle peut mettre en danger de nombreuses choses. Choisir le bon moment pour vendre une action imprime une certaine discipline et une lecture très précise du moment. Ce n’est pas une tâche facile, mais avec quelques conseils, il est beaucoup plus simple de décider de livrer ou non les actions dans lesquelles vous avez choisi d’investir. C’est pourquoi il est essentiel que vous vous exerciez à ce qui a été noté ici. Ce n’est qu’alors que vous aurez une plus grande sécurité pour décider de vendre ou non vos actions.

Quand faut-il acheter ?

Sauf à jouer l’ensemble du marché à travers un tracker qui duplique un indice, la première chose à faire consiste à repérer des titres que l’on a envie de mettre en portefeuille du fait de leur valeur intrinsèque. Dans l’idéal, mieux vaut acheter un titre dont les multiples de valorisation ne sont pas trop élevés. Et attendre une consolidation ou un creux de marché avant de se porter acquéreur. Plusieurs indicateurs sont à prendre en compte :

  • Le » price earning ratio » (PER) d’un titre s’obtient en rapprochant le bénéfice de la valeur boursière de la société. Il indique combien de fois le bénéfice par action est contenu dans le cours, c’est-à-dire combien de fois le marché capitalise les bénéfices de la société. A priori, mieux vaut acheter une action lorsque son PER est bas, puisqu’elle sera meilleure marché.
  • La prime de risque d’une action désigne l’écart de rendement attendu par rapport à un actif dit sans risque. C’est le surcroît de rémunération que l’actionnaire attend d’un titre financier.
  • Le rendement d’une action se calcule en rapportant le dividende par action au cours de bourse du titre. Ce pourcentage est quelque sorte le revenu annuel que l’action rapporte au porteur. Le fait que ce rendement soit élevé est positif.

Il faut aussi examiner les « fondamentaux » de la société : perspective de croissance, perspective d’évolution du bénéfice par action, etc., avant de passer à l’achat.

Moment pour vendre ou acheter en bourse : environnement économique

Les crises financières sont rarement anticipées bien qu’elles soient souvent précédées par une période d’euphorie et un recours à l’endettement généralisé. Par définition, comme en 1929 ou en 1987, le krach se traduit par effondrement des cours qui surprend l’ensemble des opérateurs en créant un mouvement de panique. Lourd endettement des entreprises, excès d’optimisme dans les indicateurs tactiques, forte hausse des primes de risque de crédit, marché soutenu par un nombre de titres décroissant, etc. : lorsqu’ils passent au rouge, ces voyants constituent les signes avant-coureur d’une crise financière, mais ils sont difficiles à lire pour des investisseurs particuliers, moins bien informés que des professionnels. C’est la raison pour laquelle, les actionnaires individuels ont intérêt à consulter régulièrement les sites d’informations économiques et à évaluer la « psychologie » des marchés : que la conjoncture soit bonne ou mauvaise, la foule des investisseurs est emportée par des mouvements qui débordent la psychologie de chaque individu. Lorsque les acteurs économiques se mettent à acheter de façon moutonnière, la prudence est de mise.

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